Il peut sembler étrange que les théories du complot puissent se propager et rencontrer un écho auprès d’une partie du grand public à une heure où l’information est très largement disponible et accessible. Pourtant, les faits sont là : selon l’article de l’Humanité mentionné ci-avant, jusqu’à 9 % des Français penseraient que la Terre est plate. Selon une étude de l’IFOP, plus du tiers des Français adhérerait à des théories du complot.  

Faut-il accorder toute confiance aux IA ? Certainement pas. Leur fonctionnement, on va le voir, ne permet pas de garantir la véracité des informations fournies. Explications. 

Midjourney, DALL-E, Stable Diffusion, Craiyon… Autant de noms que vous connaissez probablement et qui sont devenus familiers du grand public. Ces logiciels d’intelligence artificielle, très accessibles, sont capables de produire des images à la demande.

Si les fake news, les rumeurs et les théories du complot ont toujours existé sous différentes formes, le défi auquel doit faire face notre société est celui de l’explosion de leur prolifération en ligne. Depuis quelques années, les réseaux sociaux tentent de lutter contre la désinformation sur leurs plateformes, avec une efficacité souvent très relative tant le volume est important. 

Toutes les fake news sont-elles les mêmes ? La réponse est non : il en existe plusieurs “types”. be my media s’efforce, dans cet article, de donner un éclairage sur le sujet. 

Les fake news se distinguent de la mésinformation, qui relève plutôt de l’erreur, du canular ou de la parodie : il n’existe pas dans ce cas d’intention malveillante ni de souhait de tromper un auditoire. Mais quelle est l’origine des fake news ? 

Le temps de cerveau disponible correspond à la disponibilité de notre attention, que nous pouvons consacrer volontairement à la réalisation d’une activité ou qui peut être captée par une entreprise.

De tout temps, une grande proximité a existé entre divertissement et information… au point que parfois, entre les deux, les frontières se brouillent. Quelles sont les différentes formes que ce phénomène peut prendre ? Quels sont les dangers qui y sont liés ? 

Les réseaux sociaux ont pris en quelques années une grande importance dans nos vies. Leurs algorithmes portent l’information plus loin et plus vite… au risque parfois de colporter aussi des fake news. Quels rôles jouent à présent les réseaux sociaux dans notre société ? Quels sont les risques qui pèsent sur leurs utilisateurs ? 

En France, le journalisme trouve ses origines au 17ème siècle, avec la création du journal La Gazette autorisée par le pouvoir royal. Il acquière peu à peu ses lettres de noblesse, notamment lors de la Révolution, tandis que les entreprises de presse structurent peu à peu leurs modèles économiques. L’émergence d’Internet au cours des deux dernières décennies ont entraîné des mutations importantes dans ces modèles, et dans le quotidien du métier de journaliste. 

Dès ses origines, la presse a été confrontée à la problématique de se financer. La question est épineuse : elle implique de trouver un modèle économique stable sans s’inféoder à des puissances étatiques ou financières qui pourraient compromettre une nécessaire indépendance ce jour, les revenus des médias proviennent de trois grandes sources : la publicité, les abonnements et les deniers publics.

Si s’informer sur les réseaux sociaux semble aisé, il faut avoir conscience que les possibilités d’information y sont limitées et orientées de façon insidieuse par des algorithmes, ainsi que par le design et le modèle économique des plateformes, nous enfermant dans une perception du monde. 

Comparer les points de vue, c’est voir les différences d’opinions comme un réel atout : une somme de connaissances et de compétences différentes qui permet une approche pluridimensionnelle et complémentaire. À l’inverse, ne pas partager et comparer son opinion, c’est prendre le risque de s’enfermer dans un système unique de pensée, sans jamais le questionner.

L’éducation aux médias et à l’information (EMI) est maintenant un pilier essentiel dans les cours d’enseignement moral et civique (EMC). Elle aide les élèves à développer leur esprit critique et à pratiquer l’information de manière citoyenne et responsable. Le partenariat entre le lycée Maurice Janetti et be my media illustre parfaitement cette démarche, en intégrant […]

Poursuivant fidèlement sa mission fixée depuis 2018, de rendre l’information de qualité plus accessible dans un monde où celle-ci n’a jamais été aussi précieuse, be my media est heureux d’annoncer que plus de 2 millions d’articles ont été lus sur l’application depuis le 1er septembre 2023. Depuis le début de l’année scolaire, plus de 2 […]

Marie Darde, enseignante en Expression-Communication à l’IUT de Blois, a intégré la ressource pédagogique be my media dans ses cours, apportant une nouvelle dimension à l’enseignement de la communication.

L’IUT d’Avignon a décidé d’intégrer la ressource pédagogique be my media dans au sein des enseignements, avec pour objectif de renforcer les compétences informationnelles des étudiants.

De nos jours, même si la liberté de la presse est toujours garantie par la loi de 1881 et plusieurs autres, tout n’est pas autorisé pour autant. Explications. 

Faire preuve d’esprit critique, c’est ne pas considérer une information comme avérée sans l’avoir examinée au préalable à l’aide de sa raison. Il s’agit donc d’une véritable compétence qui est de surcroît prisée par les employeurs.  

Dès l’Antiquité, on a pris conscience de l’importance de penser par soi-même, de ne pas considérer comme acquise toute information transmise et de chercher à l’analyser. 

Les théories du complot sont des analyses qui récusent la version communément admise d’un fait ou d’un événement. Elles cherchent à démontrer que celui-ci résulte d’un complot, souvent porté par une minorité active. Elles sont l’une des composantes de la désinformation.

La désinformation est un phénomène de diffusion d’informations mensongères, intentionnellement délivrées dans le but de manipuler ou de tromper un auditoire, dans un objectif idéologique ou lucratif, public ou privé.

En opposition au phénomène de désinformation – une tentative volontaire de manipuler l’information – la mésinformation désigne les fausses informations produites involontairement ou sans intention malveillante de tromper. Quelles formes prend-elle ? Détails dans cet article. 

Il s’agissait d’une demande de nombreux établissements. Nous sommes heureux de vous annoncer, en avant-première, que nous lançons à la rentrée de septembre 2024, une version web de notre application pédagogique be my media ! Cette initiative promet de transformer l’accès et l’usage de nos ressources pédagogiques, répondant ainsi aux besoins d’un public toujours plus […]

Toute information dénichée sur le web n’est pas nécessairement avérée… loin de là ! La production et la diffusion de fake news suit une croissance exponentielle, qu’il s’agisse de mensonges, de tromperies à caractère commercial, de propagande ou de contenu complotiste.

Qu’est-ce qu’une « source » dans le jargon journalistique ? Il s’agit tout simplement de l’origine d’une information. Le terme peut désigner une personne, un document, une organisation… Une source permet donc de renseigner un journaliste.

En plus des médias dits “traditionnels” (journaux, chaînes de télévision, etc.) sont apparus depuis quelques années de nouveaux producteurs de contenus : les influenceurs. Qui sont-ils ? Quel est leur impact sur l’information ? Quelle confiance peut-on leur accorder ? 

Dans un monde où la maîtrise de la langue et la capacité à s’informer de manière critique sont devenues fondamentales pour l’insertion professionnelle et la participation active à la société, le Projet Voltaire franchit une nouvelle étape en présentant be my media, ressource pédagogique consacrée à l’éducation aux médias. Le Projet Voltaire, en développant be […]

Dans un monde où l’accès à l’information n’a jamais été aussi facile, discerner la véracité et la fiabilité des contenus disponibles s’avère paradoxalement de plus en plus complexe. Face à cette réalité, l’Université de Montpellier, à travers sa composante Montpellier Management, a pris l’initiative de s’associer à be my media, un partenaire de longue date, […]

Les théories du complot, ces récits fascinants qui prétendent dévoiler les secrets dissimulés derrière les grands événements mondiaux, ont parcouru un long chemin depuis leurs origines. Au fil des siècles, elles se sont adaptées, évoluant pour s’inscrire dans le tissu de chaque époque, tout en conservant leur essence fondamentale. Aujourd’hui, dans le contexte des avancées […]

Dans un monde où l’information circule très rapidement, le phénomène des « fake news », fausses nouvelles, ou « infox », a pris une ampleur considérable, influençant la perception publique, façonnant les opinions et parfois même, modifiant le cours des événements majeurs. Ces informations erronées ou fabriquées de toutes pièces, diffusées principalement pour tromper, manipuler ou encore désinformer, constituent […]

La pluralité ne désigne pas seulement l’existence de plusieurs partis politiques. Il s’agit plus largement d’un système d’organisation politique reconnaissant et acceptant la diversité des opinions.

À l’instar des institutions, les entreprises jouent un rôle dans le paysage médiatique. En effet, elles produisent et diffusent du contenu informationnel, notamment via leurs sites Internet ou leurs réseaux sociaux.

Les institutions sont des acteurs du secteur public et nombre d’entre elles produisent des informations. S’il est intéressant d’en prendre connaissance, cela ne peut suffire : la lecture de la presse reste essentielle pour s’informer de manière éclairée. Explications.

Dans un idéal de clarté et de responsabilité, il serait bénéfique de pouvoir exiger de ChatGPT qu’il cite ses sources. Cependant, la réalité technique derrière le fonctionnement de ChatGPT complexifie cette demande.

La désinformation, loin d’être un phénomène marginal, s’est institutionnalisée au cœur même de notre quotidien numérique, exploitant les mécanismes des réseaux sociaux pour amplifier son impact. Be my media propose des solutions.

La Semaine Mondiale de l’Éducation aux Médias et à l’Information (EMI) se présente comme un phare dans la tempête de la surinformation et de la désinformation, éclairant la voie vers une compréhension plus profonde et critique des médias qui nous entourent.

L’architecture des séquences pédagogiques de be my media repose sur un référentiel organisé autour de cinq compétences fondamentales, qui visent à doter les apprenants des outils nécessaires pour naviguer efficacement dans l’univers complexe des médias et de l’information.

Bien s’informer permet une meilleure compréhension de la société. Bien s’informer permet également de se faire le relais d’une information fiable : on mesure ce que l’on partage, en particulier sur les réseaux sociaux.

La Fresque de l’Information, imaginée par be my media, est un atelier ludique et collaboratif destiné à transformer notre rapport aux médias et à l’information. Ce serious game, conçu pour être joué en groupe, vise à susciter une prise de conscience critique face aux enjeux actuels de l’information et des médias.

L’INSEEC Bachelor a intégré be my media au sein de son projet pédagogique. Retour d’expérience du directeur délégué.

En partenariat avec be my media, l’IUT a entrepris de former ses étudiants à une pratique éclairée et responsable de l’information.

Comme annoncé depuis plusieurs semaines, du 15 au 29 novembre dernier s’est tenu la première édition du Concours national d’esprit critique organisé par be my media sous le patronage de la Commission nationale française pour l’UNESCO. 

Infobésité, bulles de filtres et chambres d’écho sont des biais technologiques qui peuvent affecter notre pratique de l’information.

Les biais cognitifs peuvent aussi affecter notre pratique de l’information, notre curiosité et notre esprit critique. Les connaitre est donc très important.

Les médias jouent un rôle majeur dans le fonctionnement démocratique. Ils renseignent les citoyens et leur permettent d’avoir accès à une diversité d’opinions.

Le fact-checking est une expression anglaise qui signifie « vérification des faits ». Dans le monde de la presse, cela désigne la vérification des faits concernant des éléments de débat public, notamment à la suite d’affirmations de responsables politiques. Depuis les années 2000, le fact-checking est une pratique répandue dans les médias : certains journalistes […]

Qu’est-ce qui caractérise le journalisme d’investigation ? Comment est-il né ? Quelles grandes affaires a-t-il permis de révéler ? Éléments de réponse dans cet article ! 

Face à un flux continu d’informations, chaque média doit procéder à des choix. Lesquelles seront prioritaires ? Lesquelles seront secondaires ? Lesquelles ne seront tout simplement pas traitées ? Cette hiérarchisation de l’information est effectuée selon des critères propres à chaque média. 

Fondé en 2019, le Conseil de déontologie journaliste et de médiation (CDJM) peut être saisi pour rendre des avis sur les pratiques des médias en France. Il représente à la fois les journalistes, les éditeurs de presse et le public. Association loi 1901, le CDJM se présente comme une instance indépendante de l’État et de tout organisme public ou privé, mais il ne fait pourtant pas l’unanimité dans le monde des médias.

La charte de Munich est une référence en Europe pour la déontologie du journalisme et la protection des personnes qui exercent ce métier. Elle a été rédigée par des syndicats de journalistes européens (français, belges, allemands) en 1971. Son objectif : assurer l’indépendance des journalistes face à la pression des entreprises et des États, et doter la profession d’un cadre éthique. 

Le journalisme occupe une place centrale dans l’animation du débat démocratique, dont il est l’un des principaux acteurs. Il doit permettre à chacun d’exercer pleinement son rôle de citoyen. Au regard de ses responsabilités, un journaliste dispose de droits et de devoirs spécifiques encadrant sa profession.

Il n’est pas forcément simple de définir un fait. Et, au-delà de la définition, il est important de comprendre que celui-ci fait toujours l’objet d’un traitement spécifique avant d’être diffusé sous forme d’information par un ou plusieurs médias. 

Alors que l’information n’a jamais été aussi accessible, s’informer n’a jamais été aussi complexe. Dans le cadre de la lutte contre la manipulation de l’information, le Ministère de la Culture et de l’Éducation a lancé, depuis 2015, un plan ambitieux d’éducation aux médias et à l’information (EMI).

Be my media oeuvre pour le développement d’une éducation aux médias et à l’information qui accompagne les citoyens et les citoyennes tout au long de leur vie.

L’éducation aux médias et à l’information est un sujet au centre des préoccupations des pouvoirs publics depuis les années 1970. Découvrez l’article de be my media.

Comment mettre en place une démarche de veille professionnelle pleinement efficiente ? Découvrez tous les conseils de be my media.

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Aujourd’hui, « faire de la veille » est un prérequis pour tous les métier cadres : be my media vous donne des conseils pour être efficace et croiser vos sources d’informations.

La presse écrite a connu une véritable explosion à la fin du XIXe siècle et occupa une position de monopole avant l’avènement de la radio et de la télévision.

La liberté de la presse a été instaurée en France par la loi du 29 juillet 1881, qui supprima le système de contrôle préventif de la presse : découvrez l’article de be my media.

Entre 1800 et 1900, la presse en France passe d’une production et d’une diffusion confidentielle à une véritable industrie : découvrez l’article de be my media.

Le premier grand périodique français fût La Gazette, dont le fondateur avait obtenu en 1631 un privilège royal l’autorisant à publier : découvrez l’article de be my media.

Be my media rassemble la presse dans toute sa pluralité pour vous permettre de comparer les points de vue et de construire vos propres opinions.

L’OCDE définit la littératie par “l’Aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante, au travail et dans la collectivité”. 

Le fil d’actualité de be my media est construit et personnalisé à partir des choix de l’établissement, à travers une cinquantaine de thèmes et plus de 400 sources !

Grâce à la fonctionnalité de comparaison de points de vue de be my media, il est possible de retrouver sous chaque article, d’autres sources qui traitent du même sujet.

Be my media propose deux revues de presse hebdomadaires en accompagnant les apprenant.e.s vers une pratique de l’information autonome, plurielle et critique, pour renforcer leur citoyenneté.

Nous avons conçu tout un programme qui permet de creuser en profondeur dans le monde médiatique et ses phénomènes, à travers des apports théoriques et une mise en pratique régulière et éclairée de l’information. 

L’évaluation est un élément important dans notre vision pédagogique. Pour be my media, l’Éducation aux Médias et à l’Information, c’est 70% de pratique, 20% d’apports théoriques et 10% d’évaluation.  

Une plateforme de suivi pédagogique et d’animation de l’application be my media est mise à disposition de l’administrateur de l’établissement.

La fresque de l’information vient, par le moyen du jeu, sensibiliser et provoquer une prise de conscience des enjeux et de l’importance de pratiquer une information éclairée : consciente, non orientée, comparée et plurielle. 

Be my media propose un parcours complet d’éducation aux médias et à l’information, qui permet de créer une véritable routine informationnelle, responsable et émancipatrice.

Be my media fonctionne comme un véritable réseau social interne d’information, dans lequel les enseignants comme les étudiants peuvent réaliser et partager des revues de presse. 

Face à une génération ultra-connectée qui ne s’informe pratiquement que par le biais des réseaux sociaux, la sensibilisation et la responsabilité de tous dans leur utilisation semble être urgente à l’heure des théories des complots et des fake news.